A l'instar de James Richard West, un fort sympathique joueur du New Jersey, j'ai eu l'idée de constituer un site dédié essentiellement à une variante intéressante, quoique douteuse, j'ai nommé: le contre gambit Philidor.
Cette modeste chronique contiendra essentiellement des parties sur la variante 1.e4 e5 2.Cf3 d6 3.d4 f5, mais également sur le contre gambit Lopez: 1.e4 e5 2.Cf3 d6 3.Fc4 f5 ou encore des débuts inusités et variés après le second coup des Noirs: 1.e4 e5 2.Cf3 d6 3.xxx f5.
Longtemps l'idée a germé de vouloir écrire un opuscule sur ce sujet passionnant. Les outils internet mis à la disposition de tous permettront, je l'espère, un échange constructif sur le sujet et une façon d'embellir les chemins vastes et variés du jeu des Echecs.
Je suis toujours convaincu que le Contre Gambit Philidor est une ouverture faible et douteuse; mais je reste persuadé que tant qu'on n'a pas encore trouvé de réfutation stable dans chaque variante, on ne peut se permettre de la mettre au rebut. Et puis, pourrions-nous seulement écarter le plaisir de jouer par une simple ouverture cataloguée de douteuse ? non.
Du romantisme, que diable !
F.Fournier
Cette modeste chronique contiendra essentiellement des parties sur la variante 1.e4 e5 2.Cf3 d6 3.d4 f5, mais également sur le contre gambit Lopez: 1.e4 e5 2.Cf3 d6 3.Fc4 f5 ou encore des débuts inusités et variés après le second coup des Noirs: 1.e4 e5 2.Cf3 d6 3.xxx f5.
Longtemps l'idée a germé de vouloir écrire un opuscule sur ce sujet passionnant. Les outils internet mis à la disposition de tous permettront, je l'espère, un échange constructif sur le sujet et une façon d'embellir les chemins vastes et variés du jeu des Echecs.
Je suis toujours convaincu que le Contre Gambit Philidor est une ouverture faible et douteuse; mais je reste persuadé que tant qu'on n'a pas encore trouvé de réfutation stable dans chaque variante, on ne peut se permettre de la mettre au rebut. Et puis, pourrions-nous seulement écarter le plaisir de jouer par une simple ouverture cataloguée de douteuse ? non.
Du romantisme, que diable !
F.Fournier
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